Remarque préalable valable pour toutes les courges que nous proposons dans nos paniers : la meilleure façon de faire connaissance avec le goût caractéristique de chacune est de la cuire et consommer au moins la première fois sans préparation particulière :
Bien des recettes données ci dessous pour une courge sont interchangeables avec une courge d’une autre variété.
Quand on prépare une recette de courge, on garde les graines, on les lave énergiquement, et on les sèche rapidement dans un linge. Il suffit de les griller un petit peu à la poêle. Bien sûr, on ne mange que l’amande, les graines les plus «dodues» (type potimaron) sont donc les plus «rentables». Chacun écosse ses graines, c’est plus démocratique !
La recette des sopaipillas zaïda vient d’un des clients de nos collègues de Mayenne Agnès et Christophe Jouault, dont nous avons fait connaissance « par internet » quand ils ont souhaité nous rencontrer.
On peut la télécharger par ici.
Une recette de Nadia et Guillaume, réalisée avec de la longue de Nice, mais peut aussi se faire avec une plus épaisse comme le potimaron , donc avec moins besoin de farine.
«Et la grande aventure de la semaine, c’était des Gnocchis à la courge (de Nice, donc).
En plus ça m’a rappelé quand on faisait les quenelles maison quand j’étais petite…un bon souvenir !»
Cuisson 40 minutes au four 200 degrés. Manger chaud ou froid. Chaud avec une salade de chou cabu, c’est excellent.
On pré cuit le potimaron « à moitié », on le garnit de farce, et on termine la cuisson.
On peut farcir le potimaron au quinoa, au boulghour, au riz, la farce cuite au préalable puis mélangée avec oignon, champignon, etc… On peut mélanger à la farce un peu de crème liquide pour que ce soit plus onctueux, juste avant d’en garnir la courge.
Déguster avec une salade (pain de sucre ou mache).
Comme ci dessus en remplaçant cèleri par navet boule d’or ou violet.
On fait cuire le potimaron coupé (et dont on a enlevé les pépins) environ 1 kg, 30 minutes au cuit-vapeur. Puis on enlève la peau et on mélange avec un verre de lait. Mélanger 3 oeufs, 50 gr de farine, 2 cuillères à soupe d’huile d’olive, autant de crème, 150 gr de Comté. On ajoute ensuite le mélange potimaron lait. On verse dans un moule à cake protégé par une feuille de papier sulfurisé sur lequel on a réparti 20 gr de pignons. Ajouter des pignons sur le dessus. Cuisson 40 minutes au four 200 degrés. Manger chaud ou froid avec une salade
Faire frémir dans une casserole 20 cl de crème d’amande, avec une demi gousse de vanille fendue en 2 et 30g de sucre. Retirer du feu. Laisser infuser quelques minutes puis retirer la gousse de vanille (la rincer, la sécher, et la stocker dans le pot de sucre en poudre pour le parfumer )
Ajouter dans la casserole 200g de chocolat noir à pâtisserie 70% de cacao et 50g d’huile de coco (ou huile d’olive pas trop forte). Faire fondre le tout à feu doux en touillant jusqu’à ce que ce soit homogène.
Mixer longtemps avec 150 g de chair de potimarron cuite et égouttée, de manière à ce que ce soit bien lisse. Transférer dans une poche à douille (si on veut l’utiliser pour de la décoration pâtissière) ou dans un récipient hermétique (pour manger à la cuillère), et réfrigérer quelques heures (idéalement jusqu’au lendemain).
Se dire que c’est une portion de légumes dans les 5 fruits et légumes par jour. Perso, j’ai beaucoup de mal à suivre une recette à la lettre et j’adapte à ce qu’il y a dans mon garde manger et à l’humeur du jour. Souvent (pas toujours) c’est bon quand même 🙂
Recette envoyée par Hélène, qui conclue ainsi : (autrice de la recette : Françoise Gauthier, sisisi, même si elle ne s’en souvient pas).
Mouliner de la courge précédemment cuite à la vapeur avec quelques oignons revenus séparément à la poêle et des pommes légèrement cuites.
Cuisson 45 minutes au four 160°/ 180°.
Citrouille dans le Nord, courge ou cougourde dans le midi, potiron ailleurs, il est bien difficile de s’y retrouver sans faire appel à la botanique et son latin (qui peut sembler pédant), mais c’est tellement plus facile quand on comprend de quoi on parle !!! Donc…
Le genre des Cucurbitacées se divise en deux :
Parmi celles-ci, nous en cultivons surtout trois
que l’on reconnaît facilement à la forme de leur pédoncule.
Pédoncule très anguleux, qui semble « posé-écrasé » sur le fruit : l’empattement est beaucoup plus large avec un petit bourrelet. Le fruit est souvent couvert de « pruine ».
La chair semble un peu « fibreuse ». C’est celle qui demande le plus de chaleur pour mûrir. Nous cultivons le plus souvent et selon les années, la demande des moscata de différentes origines.
*
Plus d’infos botaniques dans notre article
Histoire du genre et vie privée des courges.
* * *
Tout plein d’infos en photos sur la culture de courges chez nous dans notre article
Histoire du genre et vie privée des courges au jardin.
* * *
Diversité et saisonnalité, c’est possible ! Le climat tempéré bressan et les savoirs-faire paysans proposent une gamme variée de légumes certifiés chaque mois. Toute l’année !
Pour découvrir la ferme et vous abonner à nos paniers :
Pour ne rien manquer de nos actualités, inscrivez-vous pour recevoir notre newsletter :